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A.
Vous arrivez devant la taverne. Au loin dans la pièce, vous apercevez l'homme au fond sur une chaise. Les nains l'accueillent avec un sourire. « Viens donc jouer avec nous, Créfieu d'Poule ! » mais rien n'y fait, l'homme reste dans son coin à broyer du noir. Vous vous avancez vers la table et lui demandez si vous pouvez vous joindre à lui.

A.1
L'homme vous lance un sourire désespéré. Il ne sait trop où se placer, tant il a honte de se montrer buvant de l'alcool pour oublier ses problèmes. D'un air de déclin, avec un peu de fierté, il agite la main face à vous un mur comme un miroir, comme un écran, une barrière qui se dresse entre vous. « Non merci, je n'ai que faire des hypocrites, s'il vous plaît laissez-moi tranquille... »

A.2
L'homme se laisse faire sans conscription. Les gens de la taverne commandent tous une triple bière de krôme et se roulent par terre. Que dire.... C'est l'orgie ! Et les nains chantent avec l'érudit une chanson royaliste. Soudain l'homme pousse un cri. Vous vous retournez étonné. Les murs se déforment et les personnages rentrent en transe. Vous regardez l'homme.

A.1.1
L'homme vous regarde avec indifférence et vous lance avec un air de dépit : « Comme vous voulez .... » Vous vous asseyez en face de cet homme et vous remarquez les nombreuses chopes de bières déjà vidées. Vous remarquez que ce personnage semble nerveux comme à l'aurore d'une transformation personnelle. « ça va ? » lui lancez-vous. L'homme ne semble pas entendre vos propos. Il se tient la main droite. Vous entendez alors les craquements. Les murs sont en train de se déformer.

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Les murs s'ébranlent autour de vous. Vous regardez et constatez avec horreur que son visage s'amincit avec souffrance. Il pâlit, des creux se forment au niveau de ses yeux et de sa bouche. Sa bouche se raidit, ses mains deviennent squelettiques et de grosses cernes se forment sous ses yeux. Ses yeux, exorbitants, deviennent gros comme des boules de billard.
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L'homme pousse un cri rauque et se retourne vers vous. Vous voyez ses dents pourrir à vue d'oeil et son museau se transformer en nez crochu. Vous regardez autour de vous et sursautez : le bar entier se transforme !!! Vous voyez le tavernier se tordre dans tous les sens, les âmes de nains s'envoler et rugir de leur corps. L'érudit se plie en deux et se transforme avec un sourire dans un rire tordu. Vous criez au Bon Dieu que tout cela cesse... mais rien n'y fait. Vous tombez dans les pommes.

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Vous faites un rêve où vous voyez des moutons voler dans le ciel. Ils ont des ailes de chauves-souris. Le ciel, au départ bleu, devient vert fluo puis marécageux. Les ténèbres s'avancent, avec des rires qui pincent dans tous les sens le ciel coloré. Vous voyez alors un des moutons vous regarder avec une tête de cochon sans orbites. « Alors ! tu te réveilles ?! » ... « Oui ou non ?! » Ses yeux grimacent et disparaissent.

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Le mouton à la tête de cochon rigole : « Haaahaahahaha ! » Le rire le plus sinistre que vous ayez entendu. « Barney, réveille-le ! » Le cochon se retourne vers vous et vous vomit dessus, en pleine face !! Vous ouvrez les yeux et voyez un homme cochon qui se tient au-dessus de vous. Vous reprenez vos esprits et remarquez que vous êtes à même le sol et reprenez vos esprits lorsque : « Hé! Barney ! J'crois qu'la binchstruddeul l'a réveillé » Vous entendez des rires. Barney vous regarde avec son groin-vermisseau et vous dit en vous prenant la main : « Bienvenue à Porkwood, l'ami ! »


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Vous vous retrouvez dans un endroit qui semble ressembler à la taverne que vous connaissiez, mais différent. Quelque chose a changé. Les murs sont d'une pierre très noire où des fourmis-cafards (les fourmis-fards) se battent en duel à coups de sabres lasers. Vous regardez le tavernier qui ne ressemble plus du tout à celui que vous connaissiez. C'est un squelette en costard cravate à la moustache de Dali. Ses mains sont ornées de bagues multicolores et il rit très fort. Trop fort pour vous petites oreilles de fillettes. [NDLA : Excusez-moi, en vrai je suis avec vous, c'est juste que je trouvais ça drôle et dans c'taudis vous êtes pas une fillette, vous avez bravé bien d'autres dangers. Allez ! On se ressaisit !] Ses mains contrastent avec ce monde triste et sale qu'est la vermine de ce monde. Au milieu de ce joli foutoir, vous croisez le regard des nains, ou du moins ce qu'il en reste : 3 gobelins à tête de souris/chèvre ornée des plus beaux bijoux qu'il soit, dans des manteaux de fourrure. Leurs yeux sont rouge sang ; et portent des vestes en dentelle de petites culottes. Vestes qui d'ailleurs sont grises saumâtres, au passage, si ça peut intéresser, pas cher en plus, style 90 pièces d'or chez Mithrolmart. Alors, vous me direz, 90 pièces d'or pour une petite culotte ça fait cher, mais bon... Vous avez remarqué qu'on se fait plaisir chez les nains, ou du moins ce qu'il en reste. Vous remarquez aussi que la lumière de la taverne devient verte et que partout règne sur le sol une fumée âcre et houleuse. Vous vous retournez vers l'érudit, qui semble avoir perdu le contrôle de son pragmatisme : une prostituée est à côté de lui, lui qui a l'air d'un matin de Provence, elle est dans un pull blazer cuir et des porte-jarretelles. Vous vous retournez vers Barney et lui demandez :

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Barney, noble seigneur, pour vous servir ! (Il manque de renverser sa choppe par terre le temps de sa révérence) Mais vous qui êtes-vous ? Il me semble ne vous avoir jamais vu à PorkWood?... »


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Barney s'exclame d'un grand rire à faire trembler les gens, les passants et les quartiers des environs. « Haahaahaahaa ! » puis il s'arrête soupire et vous dis : « C'est pas tout l'temps qu'on voit un étranger au monde féerique venir à Porkwood sans comprendre. Bref. Vous trouverez la solution plus tard ! En attendant, vous êtes pas à Porkwood pour rien. Jolie apparence d'ailleurs » ... Vous ne comprenez pas ce qu'il vous dit.

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Vous approchez du miroir en hurlant. Mais vos pattes de canard vous empêchent de crier. Vous sursautez, furibond, malingre et vous vous observez de la tête aux pieds : une jambe de canard... deux ! Une corne de cerf qui sort de la tête, un pantin en guise de fourrure, un collier de perles à votre épaule, qui n'en est pas un mais un colifichet de fleming. Un Å“il de verre, l'autre en saphir et sur vos mains quelques bagues argentées. Votre vertu est celle d'un ours repu et vous remarquez que du miel sort de votre oreille, ainsi que votre trou de nez. “Mon dieu, mais que puis-je y faire ?”, criez-vous. « Diantre fichtre, vous devez terminer votre tâche, dit Barney, et ne vous inquiétez pas, vous êtes plutôt classe dans cette région, comparé à d'autres », et il cligne de l'Å“il avant de reprendre : « Allez donc voir Harry, ou du moins, l'apprenti sorcier Von Sprügler »


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A.1.1 . 1/2/3 . 8
Vous avancez vers ce qui semble être un apprenti sorcier. "Harry", pensez-vous en vous retournant les ongles (en vous bouffant les ongles pour être plus précis). "Alors ?!", vous crie -t-il dessus quand vous vous approchez. Son oeil est fourbe. Pas le droit, le gauche. Il bouge dans tous les sens et de la lave sort de sa bouche à demi-ouverte "Alors !!"... "Ben quoi ?", répondez-vous, l'air taquin. "Que voulez-vous à part sauter à pieds joints et trouver un trésor auprès de moi ? La fontaine est proche ! »

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À peine avez-vous prononcé ces quelques phrases que vous entendez un bruit sourd. On dirait que quelqu'un frappe à la porte ! Soudain UNE PARTIE DU TOIT EXPLOSE !! Des morceaux de bois et de pierres de la taille d'un bon bébé de 15 kilos 30, volent en éclats. De la fumée mélangée à de la poussière grise se répand dans la taverne. Impossible d'y voir clair !! L'homme continue à pousser des cris. Vous entendez alors des bruits de pas sur le plancher... "Squroque, Squroche". Vous voyez alors se dessiner une silhouette imposante se dirigeant vers vous. Vous fermez les yeux, l'atmosphère vous pèse et vous ne savez pas à quoi vous attendre. Quelques secondes dans le noir... "Squroque, Squroche... " Les bruits de pas se sont arrêtés. Vous sentez un regard méprisant et pesant sur vous. Vous ouvrez alors les yeux... ET TOMBEZ NEZ À NEZ AVEC UN CASTOR DE 2 MÈTRES DE HAUT EN BLOUSE BLANCHE, il fume un cigare et porte des lunettes. Il vous crache une bouffée de fumée au visage.
"Vous critiquez mon travail ??" dit-il d'une voix rauque sortant des profondeurs.

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1
"TU L'AURAS VOULU ! " crie le castor, vous remarquez alors qu'il enlève ses lunettes, alors que ses yeux vous hypnotisent. Des spirales vertes sur fond violet se dessinent dans ses yeux.

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1
Vous voyagez dans ce que vous désigneriez comme une immense toile d'araignée. Vous voyez soudain que vous atterrissez sur un fond blanc. Alors que vous vous remettez doucement de votre chute libre, vous levez le nez. D'immenses sortes de piliers ou des colonnes de couleurs rouge, jaune, vertes et bleues. Vous reculez afin de mieux contempler cette architecture.

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1
Vous comprenez alors ce que sont ces quelques lettres. "Google ? Qu'est-ce donc ?", pensez-vous. La solitude dans ce désert blanc commence à vous gagner, face à ce mot qui vous est inconnu. Cet immense mot qui ne cesse de vous laisser des instincts mystiques, vous avez envie de crier.

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1.1
La toile blanche s'efface et laisse libre court à la réalité, vous voyez des lutins voler dans le ciel, des étoiles s'illuminent dans votre regard. Vous êtes K.O., mort , dead. Le castor de deux mètres vous a envoyé au tapis et votre tête ne semble plus sur vos épaules. Vous sentez encore pendant quelques instants vos doigts de pied frémir.

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1.4
Une myriade d'explosions se dessine dans cet espace blanc. Des losanges, des cubes d'une infinité de couleurs se détachent du ciel, et de l'horizon... Celui-ci semble incertain. Le blanc serein a laissé place à un gris puis du bleu, du mauve.... « Une déstructuration de l'espace, pensez-vous, des infinités de couleurs d'un calcul arithmétique, donc ! » « Cliché, criez-vous, cette forme de destruction ! » Vous vous laissez à penser qu'un point de l'espace est éteint, une théorie plausible. À vrai dire, tout cela semble tenir debout...

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1.4.1
Votre sentiment ne fait que de se confirmer. Vous vous sentez subitement happé par une réclusion, une sorte de super-aspirateur. Vous repensez alors à l'histoire que l'on vous comptait étant petit. « Et décide de s'endormir sur ce qui semblait être un tendre lit, moelleux et confortable dans ce désert de marée montante d'eau, de sable et de galets colorés. », pensiez-vous en sentant votre corps aspiré dans le néant. Vous connaissiez très bien la suite de l'histoire, mais reniez l'envie d'y penser. Vite ! Vous chassez ces mauvais esprits de votre tête tout en regardant ce triste spectacle dans vous êtes l'acteur principal. Un éclair une illumination vous traverse l'esprit. Votre divinité veille sur vous. Vous regardez ce qui semble être humain au-dessus de vous, même si cette forme se détache vers le haut, le bas, la droite, la gauche et... à cet instant précis, expliquer tout cela serait comme expliquer une théorie à propos d'un asticot mangeur de cailloux. « Est-ce que cela a un sens ? », pensez-vous. C'est alors que les voiles se mélangent et défilent devant vos yeux, jusqu'à l'apparition d'un rayon bleu.

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1.4.1.1
Votre exubérante aventure semble prendre fin. Lorsqu'alors vous touchez le sol. Vous apercevez le castor de deux mètres de haut en face de vous.

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1.4.1.1.1
Vous ne vous faites pas presser pour agir. Vous faites de petits bonds en direction de votre rival. Votre rage éveille en vous votre coeur de lion. Le castor reste stoïque, arrachant quelques bouffés sur son cigare.

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Soudain les murs se désintègrent, vous vous retrouvez sur un fond blanc. À seulement quelques millimètres de votre cible, votre arme favorite est déjà engagée. Vos phalanges flamboyantes ont déjà bien vécu. L'Arme à droite, vous fendez l'air et l'espace. C'est alors qu'en une fraction de seconde l'incroyable se produit :

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1.4.1.1.1.1.1
Apparaît alors dans votre champ de vision : votre objectif. Votre main droite est fermée et prête à endommager. Alors que tout votre corps s'engage pour créer un point d'impact conséquent, alors que votre poing est sur le point de faire mouche, quelque chose vous surprend. Le castor semble rapetisser à une vitesse qui dépasse l'entendement. Se transformerait-il ? Serait un autre pouvoir caché ?

A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1.4.1.1.1.1.1.1
Alors que votre corps est déjà engagé, votre poing continue sa course : modifier sa trajectoire vous demande beaucoup d'effort. Votre ténacité parvient à satisfaire votre âme de guerrier.


A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1.4.1.1.1.1.1.2
Dans votre champ de vision le sommet du crâne de votre ennemi. Ce sommet de crâne vient trop vite. Votre poing frôle cet objectif, avec la vitesse d'un faucon pèlerin fondant sur sa proie. L'espace entre votre arme et le sommet du crâne du castor est de la taille d'un pépin de maïs. La friction entre votre cible et le castor est tel un mirage dans le désert, votre arme éclaircit tel un marteau s'abattant sur un clou et votre armure semble être celle d'un aventurier cherchant à atteindre l'oasis ; toute votre force est engagée, votre volonté de fer qui ne cesse de grandir et votre coeur de lion crée un effort qui semblerait épater tout prestidigitateur expert de mouvement et de réactions en chaîne. Cette rencontre entre deux sujets ; vous et votre cible crée un mouvement qui suit une direction : votre main droite. Et les sujets de ce mouvement, suivant la direction de vos phalanges, de vos carpes et de vos métacarpes, des os de votre bras et de votre dos, semblant se raidir afin d'être plus durs, constituent une force comparable à un bambou de 145 centimètres de diamètre. Partant de temps en temps à gauche puis à droite, reculant, avançant telle une tornade. Sentant votre courage grandir, vos efforts de toucher le sommet du crâne du castor semblent être comme à quelques pas du sommet de l'Himalaya. Ce dernier coup parvient enfin à toucher au but. D'un mouvement aussi vif qu'un pégase, vous touchez la joue droite de votre ennemi, puis la gauche, coup qui semble être un éclair de Zeus lui-même. Ce qui a pour effet de créer une rotation de la tête du castor. Dans votre champ de vision : l'infini.


A.1.1 . 1/2/3 . 2.1.1.1.4.1.1.1.1.1.2.1
Vous baissez le regard. C'est alors que vous comprenez la situation en dessous de vous : le vide. Vous remarquez votre rival à quelques mètres en dessous de vous. Son visage laisse apparaître ses babines retroussées formant une grimace comme si un ouragan l'avait traversé. Vous levez les bras en signe de victoire.

A.1.2
L'homme vous regarde et sort : « Il est marrant celui-là ! J'le pète sans effort. »

A.1.2.1
Avec toute votre énergie et tout votre amour, vous vous apprêtez à adresser les mots de votre coeur à cet homme.

A.1.2.1.1
À cet instant vous lui dites : « flibellilepô schrikleubleu bouzoulou ! » L'homme vous regarde avec de grands yeux et vous sourit !
A.1.2.1.1.1
Vous lui dites : « Bouzougoulu fleubleubleu abère kromissedoutcha ! », il vous répond : « kricha peupeu !! Touff touff ! » Vous êtes heureux, heureux de dialoguer de plus belle, lorsque l'homme vous répond : « Nunuche, lenori nunuche POUM POUM ! » Vous comprenez à cet instant que vous êtes con. Que vous avez dit de la merde. Et que tout le monde s'en fout, de vous et de votre gueule de jeunot.


A.1.2.1.1.1
Vous lui dites: " Bouzougoulu fleubleubleu abère kromissedoutcha! ", il vous répond: "kricha peupeu!! Touff touff! " Vous êtes heureux, heureux de dialoguer de plus belle, lorsque l'homme vous répond: "Nunuche, lenori nunuche POUM POUM !" Vous comprenez à cet instant que vous êtes con. Que vous avez dit de la merde. Et que tout le monde s'en fout, de vous et de votre gueule de jeunot.

A.1.2.1.1.1.1
L'homme vous rétorque : « Et vous ? Quelle est cette manière de chier sur les murs ? »

A.1.2.1.1.1.1.1
Vous retirez votre chaussure gauche, puis la mettez sur la table. D'une crispation extrême vous repliez tous vos petits doigts, sauf un : le majeur. Vous le présentez au regard de l'homme lorsque celui-ci vos rétorque : « Jolie chemise ! Venez donc vous asseoir ! J'ai quelque chose à vous faire boire ! Votre posture me plaît ! »

A.1.2.2
L'homme se prend votre baffe. Il se trémousse, se tasse, puis se relève droit devant vous comme s'il parlait devant une glace : « Assez, préparez-vous pour le duel ! »

A.1.2.2.1
Mini jeu duel ou duel de regard avec l'homme.

A.1.3
L'homme rétorque « La dualité d'une dinde !! D'une part la face à cuire et l'autre à fourrer !! »

A.1.3.1
L'homme attend votre réponse. Le suspense est à son comble. Vous vous préparez désormais à briser le mystère et à faire rire cet individu. Vous soufflez du bout des lèvres à l'aube d'une grande déclaration : « Le mor... » lorsque l'érudit dit (et plus fort que vous) « Morpion ! ». Vous le regardez un instant. La haine monte en vous. Il vous lance un sourire que vous rêvez de briser. Oui son petit sourire de p $ %!§*$£ bien satisfaite, s'apprêtant à rafler les lauriers. L'homme s'esclaffe alors de rire en se retournant vers l'érudit Hahaha ! Excellent !!!! Excellent !!! Le petit enfant qui sommeille en vous se réveille alors et cogne de tous ses poings l'injustice qui résonne en votre coeur. Franchement, entre nous, l'enfant en vous a peur du recul, mais je pense que l'auriez compris, n'est-ce pas ? Reprenons. Vous ne pouvez vous contenir. L'érudit vous a grave manqué d'respect wesh ! Vous vous apprêtez a dire en fixant l'érudit :

A.1.3.1.3
L'érudit prend un ton très sérieux quand il vous répond : « Et, oui c'est dur de s'habituer aux coutumes d'un village que l'on ne connaît que peu. » Il fait une pause, vous regarde avec intensité, puis il reprend : « J'ai vécu avec les loups pendant quatre années du calendrier Trinox. Le chef de la tribu a souhaité que je devienne l'un des leurs. Je me devais pour cela deviner chaque fin de phrase de chaque membre de la tribu. Puis, petit à petit ça a été la phrase complète. Chez eux, c'est une preuve d'altruisme, mais si l'on se trompe gare à vos cheveux !! En effet en cas d'erreur, le chef du village nous lisse les cheveux entre deux crapauds Magmutte. Et que l'on se le dise, qu'est-ce que ça fait mal !!! » Il s'arrête un instant, et regarde le mur de pierre avec nostalgie. « J'avais une famille, eux m'ont appris le savoir et ma connaissance de l'être humain. »

A.1.3.1.3.2
Une pause... L'érudit semble calme, il vous regarde et vous adresse un sourire de mélancolie : « Il est toujours dur de s'adapter à un nouveau pays. Les habitants ont la coutume de mettre un temps à vous accepter, mais ils ont le coeur sur la main. Seul l'empire des ténèbres qui règne sur ce royaume instaure la peur et la méfiance dans le coeur des gens. J'ai une mission pour vous. L'accepteriez-vous ? J'ai besoin d'un compagnon pour parvenir à mon utopie.

A.1.3.1.3.2.1
« Bien ! » dit-il. Il se lève de sa chaise et s'approche de vous ; puis il sort un parchemin et un pinceau. « Ce pinceau n'a pas besoin de peinture pour peindre, dit-il. J'ai besoin de votre accord pour nous emmener à l'Endroit défini. Dessinez une créature sur le parchemin. Je me transformerai alors en cette créature pour ne pas être repéré dans cet univers. Je suis connu là-bas comme étant un rebelle... » Vous vous apprêtez à dessiner :

A.1.3.2
L'homme vous regarde d'un air désenchanté. « Heu... Restons à quelques mètres de distance. » Soudain un bout de plafond vous tombe sur la tête. Vous tombez dans les pommes.

A.1.3.1.1
L'érudit ne répond rien... Il vous regarde avec surprise puis vous lance un sourire.
1. Vous comprenez qu'il est temps de lui demander si vous pouvez vous asseoir auprès de lui
2. Vous sursautez
3. Vous lui rendez son sourire

A.3
L'homme vous regarde et éclate de rire. « Oui, bien sûr ! dit-il. Et moi, je vois un babouin me faire un strip-tease. Joli Monocle, au passage ! » et il cligne de l'oeil.

A.3.2
L'homme vous lance un regard puis lance à l'érudit : ‘Eh ! Il est bien mignon de parler de fesses, mais il m'prend pour le premier poulain sorti du ventre de sa mère ! Tiens (il se retourne vers vous) tu veux voir un truc ?'

A.3.2.1
L'homme sort un flacon « C'est un élixir très puissant, dit-il. Avec ça, vous pourrez draguer toutes les meufs que vous souhaitez. À une condition (il lève le petit doigt) : que vous ne pensiez pas à draguer ma femme. »

A.3.2.1.1
SI force supérieur à 20
L'homme vous fait humer les vapeurs du flacon. Vous avez beau commencer à penser à des femmes, aucune ne vous rejoint... « Cessez de lutter », vous dit l'homme.
Si force inférieur à 20
Vous observez autour de vous. Vous voyez alors une femme enterrer dans la taverne. Vous l'interpellez avec aisance. Ses cheveux sont rouges frisés. Ses yeux sont noirs, grands (très grands !) Elle parle avec passion. Vous en faites de même. Lorsque soudain, vous sentez tout votre corps trembler. Vous sentez votre cÅ“ur battre fort, très FORT ! Pas de doutes, vous êtes en train de tomber amoureux ! Vous rentrez dans une sorte de transe. L'émotion est telle que vous tombez dans les pommes.

A.3.2.1.1 SI force supérieur à 20 .1
Vous arrivez à reprendre le dessus sur vous-même. Vous êtes apaisé « Je vais chercher une femme », dites-vous à l'homme. « Bien, pas de souci ! À la prochaine » dit-il en rigolant.

A.3.2.1.1 SI force supérieur à 20 .2
Vous êtes sorti de la taverne. Devant vous, le parc. Vous voyez une femme, assise sur un banc, en train de lire. « Arf, belle de loin mais loin d'être belle, pensez-vous... Mais j'vais quand même voir... » Vous vous avancez alors vers le parc.
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