WikiBoard de la plate-forme du B25 -  Besançon25-France

WikiBoard de la plate-forme du B25 - Besançon25-France


WikiniBesancon25   ::       > DialogueCoupleHomme

DerniersChangements :: DerniersCommentaires :: ParametresUtilisateur ::
:: Vous êtes ec2-3-235-140-73.compute-1.amazonaws.com
*I*

Vous rentrez dans une maison semblant être dévasté par une horde de nains mal réveillés après une after chez les trolls. Au fond de la pièce se trouve un homme de stature commune ; ce dernier entend le bruit de vos pas et se retourne en hurlant :
— Que c'est-y qui se passe ? Que faites-vous la ?

1. "Un simple étranger, j'ai entendu du bruit. Que se passe-t-il?
2." je suis John Wayne, dresseurs de poneys depuis cinq générations."
3. Vous voyez un anneau sur la table. " C'est à vous ? "
4. Sur de vous, vous dites : " Bonjour ?"
5. Timidement vous répondez...
6. Vous contempler cet homme au charisme d'enfer. Le taux de sa voix vousd a fait frissonner de la tête aux pieds. C'est sûr ! Il est trop pour vous, mes voulu lancer vos plus beaux sourires.
7. Vous voyez au fond de ses yeux une âme forte. Vous lui offre est votre coeur dans des notes douces comme du miel.

*II*

[...] L'homme vous rétorque :
" encore un illuminé, comme ma femme... "
L'homme soupire ...
1. Quoi ? Qu'est-ce qu'elle a vot' petite dame ? C'est que je crois l'avoir vu déguerpir...
2. Que signifie ces manières ? N'aimez vous donc pas l'équitation ?
3. Serait -ce une menace ?!?
4. Je plaisante, je viens d'une région lointaine dont la vallée est nichée entre l'est et le Jourdain tombant, là où se nichent maints chevreuils. Que se passe-t-il ?

*III*

Face à vous, l'homme vous regarde avec surprise et raconte : " j'ai demandé à Rosanna (ma femme) où était notre bague de mariage, elle a commencé à bégayer. J'ai attendu mais les phrases qu' elle annonçaient ne menait à rien, je me suis énervé et j'ai commencé à envoyer paître tous ceux qui ne passait sous la main en la maudissant. Je crains que les malandrins l'aient volé.
1. Interloqués, vous auriez aux éclats et dite d'un ton rassurant : " mais voyons mon beau ! Cette bague est sur cette table ! Regardez ! Là !
2. Vous regardez la bague sur la table, puis regardez l'homme en disant : " quelle bague ! ?"
3. Vous entreprennez une danse endiablée, faites un moonwalk raté puis dite sur un ton enjoué : " Qu'a cela ne tienne ! Allons rendre la monnaie de sa pièce à ces voyous voleurs de palais! "

*IV*

harry soupire et vous explique que c'est sûrement l'un des malandrins de la vieille ville qui la tient en sa possession.ecoeuré presque à la limite de vomir il vous demande d'aller voir le chef du village pour cette affaire. Il pourrait ainsi vous échanger certaines de vos informations contre votre courage.
1. D'un pas décidé vous serrer la main de l'homme qui se tient en face de vous les larmes aux yeux et vous vous dirigez vers la maison du chef du village.
2. Hésitant, vous le saluer de la main et ressortez de la maison le souffle court ...
3. Voulu regarder avant de tourner des pieds en réfléchissant à la manière de rester en vie dans ce foutus village.

*V*

"Mais si ! ...
J'adooooore monter ma bête ! ..."
1. Parleriez-vous d'une chèvre ?
2. De manière analytique vous répondez : " vous ne semblez bien perfide ou bien d'une langue bien caustique ! Un homme de goût ! Encore une histoire de fesses... j'aime quand sa claque ! Mais revenons à nos lutins ! Que se passe-t-il ?
3. Vous auriez vous une certaine affinité avec la demoiselle qui s'est enfui à l'instant ?

*VI*

" non, je parle de ma femme... "-t-il en s'foutant une claque sur le front de un air abruti...
1. Aah ! J'ai connu une femme de petite taille dont le caractère frôlait l'attitude d'un caniche schizophrène. Mais son grand coeur n'avait aucun égal. Que se passe-t-il ?
2. Comme dirait mon grand-père, le grain de riz a toujours tort devant la poule...
3. Vous vous asseyez sur une chaise, fixez pendant quelques instants l'homme puis vous dites dan air solennel et profond : " au revoir." Vous vous levez et partez.
4. Vous répondez d'un air curieux : " y a-t-il eu une altercation ?"

*VII*

L'homme fixe le plafond en soupirant, baisse les yeux : " vous ne pouvez savoir le complexe du Torknei. Ma femme ne sait parler que le patois, espace de jeux la comprend en globalité mais les dialogues sont parfois incompréhensibles. Lorsqu'elle panique... Elle devient hystérique...
1. D'un air calme, vous répondez: " Les tortues et les limaces nagent dans le même bassin, vous savez, serein, que l'hystérie n'est pas que féminine, elle relate de pulsions arrêtées par le surmoi, créant ainsi un conflit intérieur... "
2. "Peut-être a-t-elle eu envie de manger un pudding à la rhubarbe sur votre corse velu, ce qui n'explique pas pourquoi elle a paniqué ?"
3. "Alalah... L'espéranto est pour elle une utopie... "
4. Vous regardez autour de vous et remarquez un anneau sur la table ; vous demande de manière la plus courtoise possible à qui il appartient.
5. Vous contempler religieusement cet homme à l'aire désespérée puis vous criez : " Marcoumba! "

*VIII*
L'homme dit sur un ton désespéré : " ma femme serait plutôt une canne à trois pattes gauches, qui plus est l'abricot à la douceur d'un sein..." il cligne alors de l'oeil, vous apercevez que l'homme a à moitié compris votre phrase et semblait surenchérir de manière paradoxale à vos propos.
1. " votre femme a-t-elle un problème ?"
2. " j'adooooore le foie gras !"
3. " je pense que chaque être vivant à une conscience, peut-être que votre femme est une conne mais elle vit !

*IX*
" certes, mais elle n'est pas à vendre ! Espace sont fois m'appartient et ce dernier fabrique un panel d'enzymes tricolores lorsqu'une chevauchée se prépare ! "
1. " un homme de goût ! "
2. Curieux, vous dites : " n'aimeriez vous pas l'équitation ? "

*X*
L'homme stupéfait expire un souffle de satisfaction, et ferme les yeux, soulagé.
" merci étranger, vous me retirer un poids sur le coeur. Je tiens temps à cette bague... Vous avez su apaiser la colère et me redonner le sourire. Je n'aurais pas dû m'énerver après ma femme, elle est peut-être pénible mais je l'aime.
Je vous suis reconnaissant...
Je me présente: je suis Harry, le menier du village. Venez me voir à l'occasion, le moulin est près de la rivière qui passent juste devant la forêt en devant du pont. Bonne journée !
1. "Je vous en prie, j'aime rendre service !" puis vous quittez la maison.
2. Quittez la maison sans rien dire.

*XI*
L'homme ne semblent pas apprécier à cet instant ce moment de politesse. Il souffle par le nez et vous fixe du regard.
1. Vous plonger dans son regard et décidez de le suivre dans son mutisme...
2. Vous siffler, en le fixant, l'air du bon, la brute et le truand...
3. Vous dites en prenant le flot d'Eminem :" I was born with a dick in my brain, yeah fucked in the head, my step-father said that I sucked in the bed. "
4. Vous vous tourner vers la fenêtre et murmurez : " Quel regard de vache il me fait, j'ai pourtant été poli... "

*XII*
L'homme prendre goût à ce défi puis lance : " As I walk thought the valley of the shadows of death, I take a look at my life and realize there is nothing yet. 'Cause I have been blasting my wife for so long... "
1. suite clash RAP

*XIII*
" ... "
1. " ......................................"
2. [...]
3. "..."
4. Prenons du recul notre jeu est bestial, retournons à la civilisation, voulez-vous ?
5. Vous restez les yeux dans les yeux comme des chiens de faïences pendant quelques minutes ...

*XIV*
Les pupilles de l'homme se dilate ; puis il prend a-t-on chaleureuse :
- vous avez raison, la colère me rends dans un état second ; vous n'avez pas l'air mauvais, que diriez-vous de m'accompagner à la taverne ? J'ai besoin d'une oreille attentive et de bons conseils...
1. - si cela peut vous apaiser, c'est avec plaisir!
2. - oui ! Allons donc étancher notre soif !
3. - entendu, mais restons adultes, évitons les excès.

*XV*
L'homme vous répond sèchement :
- court n'est que faire des curieux. à moins que vous souhaitiez m'aider à résoudre ce mystère, mais cela ne peut vous intéresser...
1. Intimider, vous répondez : " quel mystère ?"
2. étonné vous vous vous exclanez en vous adressant à la fenêtre: " c'est bizarre ce mystère... J'ai vu quelqu'un sortir...
3. Vous le regarder dans les yeux et grogner sans sourciller...

Vous avez une tâche, vous n'avez pas de lucioles chez vous ! ? Vous pouvez résoudre ce problème : manger Froux le seul pâté D'oies dégageant des phéromones naturelles par les orifices hétérogènes qui permet de se fait par les ports et éthique un gaz qui sent la fraise attirant les lucioles-il avant les tâches de vos vêtements. Résultat ?
Une lumière tamisée la nuit, des avis propre et un repas calorifique Paul le trille modeste de quatre pièces d'or ! Attention : ne convient pas aux femmes enceintes, aux épileptiques et aux personnes souffrant d'hémorroïdes.

*XVI*
L'homme ne vous regarde un instant puis lève les yeux au ciel et bafouille.
- Rozanna, hoo Rozanna ? Mais pourquoi m'avait eu encore laissé tout seul ici-bas ? En plus avec un homme qui ne qui ne comprend rien mon désespoir...
1. Interloqués vous répondez :: " je comprends. Et je dirais même plus : je comprends rien."
2. En le fixant du regard vous devinez ce qui s'est passé...
3. Patiente murmurez à la fenêtre: " se mettent chante admirablement bien ..."

*XVII*
L'homme se lève de sa chaise et voulurent le dessus :
- Mais, mais ... Faites-vous donc partie de cette jeunesse qui se fout de tout ?! Quel triste époque...
1. Sur la défensive de prononcer en accentuant sur certains mots :" ce n'est pas à la jeunesse qu'il faut blâmer maints reproche, mais plutôt à cette société qui va conditionne. Je n'ai pas compris que je vous demande : pouvez-vous m'expliquer ?"
2. Soudain, vous avez un sentiment de déjà vu avec le film orange mécanique puis vous dites : " aimez-vous Beethoven ?"

*XVIII*
L'homme et esquisse un sourire puis vous dis :
- court M. Ne lancerait des fleurs avec le pot...
1. Pas plus farouche qu'un gosse de six ans, vous soufflez d'une voix suave :" monsieur peut faire plein de choses avec un pot..."
2. Vous répondez fiert : " je ne suis pas que le simple étranger de ces environs ! Que se passe-t-il ?
3. Sortant de vos gongs, vous déclaré :" monsieur a aussi de la répartie, je vousd met en garde hommes du village."

*XIX*
L'homme répond en sérent ses poings près de ses poches:
- court ne me chercher pas, vous ne savez pas de quoi je suis capable, ni qui je suis !
1. incompris, vous le fixez du regard...
2. Bizarrement vous sentez votre ventre gargouilles et baissez votre regard au niveau de votre estomac.
3. Vous ne savez pas comme les vannes d'hommes peuvent être distrayantes...Je vous invite à la taverne pour discuter.

*XX*
Avec mélodie, vous vous exprimer face à cet homme en ces termes :
- brave homme, qu'elle n'était pas ma surprise de passer dans les ruelles de ce village idyllique et d'entendre un fracas foudroyants provenant de votre demeure. Il y avait quelque pas entre direction et moi... Qu'elle ne fut ce vacillement en mon coeur lorsque vous ue ne révélèrent votre beauté ! [...]
Vousd arrêter tant l'émotion et votre tirade est forte. L'homme ne vous regarde avec de grands ue, bien que silencieux, il vous répond :
- Eh bien ! Je vous remercie - il sourit - pour cette déclaration, ceci ne va droit au coeur. Métier de vous ! ?
1. Vousd emballer un peu trop : " je suis vous et vous êtes moi, faisant l'amour, tout de suite !
2. - court je suis une jeune étrangères qui vient d'arriver dans ce village, que se passe-t-il ?

*XXI*
L'homme rit aux éclats.
1. Histoires de vous enfoncez encore plus, afin de le faire succomber à vos charmes : " quoi ? Qui y a-t-il ?" en enlevant votre chaussures vous vous exclanez : "mon pied gauche est maître de la friction verticale..."
2. Un peu honteuse, vous vous taisez ...

*XXII*
L'homme éclat d'un fou rire, puis lance, entre de doux rires:
- Merci, gardez votre pied et laisser mon Bambou tranquille ! Qui êtes-vous, sérieusement... ?
1. Vous reprenez conscience est vous lui expliquez que vous êtes étrangère à la région, que vous avez entendu du bruit chez lui et que vous êtes arrivée dans son humble demeure en se demandant si ce qu'il se passe.
2. Vous vous excusez et partez.
3. "Veuillez me pardonner mes propositions scabreuses, je me suis laissé emporter... Je suis une étrangères, je voyage et vous découvre avec votre rire qui m'en a fait chaud au coeur.", vous faites alors un pas vers lui, puis dite:" oui, suis-je bête... Qui êtes-vous ?"

*XXIII*
L'homme vous répond :
-je suis Harry, le menier du village. Voilà bien longtemps que les mêmes dispute éclate dans cette demeure....
1. " dites m'en plus !"
2. Vous remarquez une bague aux couleurs éclatantes sur une commode, interrogé vous dites :" vous êtes marié?"
3. Vous vous exclanez: " cette bague... sur cette commode.... magnifique !"


*XXIV*
L'homme vous regarde et vous dit dans un soupir :
-Oui ...
1. [...]

*XXV*
Souriant, l'homme qui avec douceur:
- Rassurez-vous, vous n'avez rien fait de mal, n'avait même fait rire! Vous savez, rien ne vous empêche de me demander mon prénom !
1. J'aimerais vous connaître, parlez moi un peu de vous... s'il vous plaît...

*XXVI*
L'homme vous contemple quelques instants, puis vous lance sur un ton pince sans rire :
-vous pourriez refaire la même chose dans ma femme ?
1. Avec une petite voix vous lui répondez: " vous n'aimeriez pas en avoir deux?"
2. - Elle as bien de la chance! Tout se passe bien entre vous ?

*XXVII*
L'homme vous sourit, s'apprête à parler lorsque soudain, vous continuez sur votre lancée :
- imaginez un instant : deux femmes rien que pour vous, le rêve ! J'ai des dons de Sainte vous savez...
L'homme retient un fou rire :
- Mademoiselle as-t-elle des talents cachés! ... Et?
1. - J' espère que votre femme aime les confiseries et les fruits de mer!
2. - Et comment ça se passe avec votre femme ?

*XXVIII*
L'homme pataud, à la limite de vomir, vous lance :
- Désolé mais je n'aime pas trop les huîtres ! Et, pour tout vous dire je ne suis pas intéressé, ce qui ne vous empêche pas d'être charmante! Mais j'aime ma femme, malgré nos fréquentes disputes...
1. [...]

*XXIX*
L'homme ouvrent de grands ue et s'explique en ces termes :
- Il est très régulier que Rozanna perde notre bague de fiançailles, une bague qui symboliquement nous importent beaucoup .... Notre coup de foudre sous le pont Beauregard, notre premier baiser, notre première nuit d'amour proche de la mer de Luminesca... Cette alliance représente et remémore tous nos souvenirs les plus précieux. Elle est telle un diamant...
[...]
Soulagé, l'homme soupire s'exprimant:
- Dire que cette fois -ci j'ai bien eu peur que cette perte soit définitive ... Je vous remercie grandement, et vais attendre le retour de ma bien aimée patiemment ici.
1. [sortir de la maison]
Il n'y a pas de commentaire sur cette page. [Afficher commentaires/formulaire]