L'application mainstream du B25 est-elle subversive ?
L'ensemble de l'application dont sort le B25, c'est a dire l'ensemble des noms et terminaisons de domaines ainsi que les applications satellites ou (tentacules du site-de-tête-principal) reliées entre-elles forment un ensemble équilibré avec des possibles futurs développements assez incertains.
Ce qui est totalement sur, après maintes et maintes réflexions et recherches personnelles autour de l'utilisation de la plate-forme est que celle-ci peut avoir un coté subversif ; et que cette application est somme toute manichéenne dans son ensemble. Suivant le développement de celle-ci et les fonctionnalités qui y sont implémentée l'ensemble peut à la fois accueillir le Bien comme le Mal.
Il faut donc protéger l'usage et restreindre son installation sur une norme de noms de domaines bien définie : la normes des capitales numéraires c'est-à -dire une
marque défini par :
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(nom_de_ville+code_postal)
- et
- (nom_de_capitale_départementale+numéro_de_département)
- et
- (nom_de_grande_capitale_régionale+numéro_de_grande_région)
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- ... tout en y adjoignant les terminaisons de domaines déjà éprouvé par le site de test (.fr, .net, .com, .biz et .info)
De même le draft symbolisant l'aspect bénéfique de l'ensemble-applicatif-unitaire ( l'ensemble du code-source des différents composants ) doit être protégé afin de donner une valeur symbolique répétable sur tous les logos de toutes les ensembles-applicatifs pouvant être installés.
Le logo typique se doit lui même de respecter une norme qui est composé de trois éléments :
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le draft (obligatoirement)
un logo modifié de façon élégante de la ville accueillant l'ensemble-applicatif (affichage à la volonté de la ville)
la marque (définie par l'identité géographique de la ville accueillant l'ensemble application)
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Voici un exemple du draft du site-de-tête et le logo associé à la ville de Besançon, capitale département (préfecture) du Doubs (département n°25) :
